Et si j'avais les mots qu'il faut pour accrocher les images...
Soirée
Sur fond de beach Boys, dans l'ambiance feutrée de ma chambre, la pluie se déchaîne dehors...
C'est fou comme elle représente toujours bien mes sentiments.
Là elle crie comme le manque est dur, et la furieuse passion qui me dévore le ventre... Passion qui croit, qui dort en moi. Et qui se réveille au détour d'un mot, d'un accord.
Et dans ma robe (la seule) bleu électrique, celle que je mettrai samedi, j'ouvre ma fenêtre et bascule ma tête en arrière et me sens dans mon élément. l'eau.......
Je voudrais sortir dehors, rire, être trempée, vous retrouver, vous serrer dans mes bras, ne faire plus qu'une, me fondre en vous, sous cette pluie battante qui nous fouette le visage. Mais ni cette pluie ni rien d'autre d'ailleurs ne nous empêchera de nous aimer...
La lumière des réverbères se reflète sur nos joues trempées et sur nos lèvres déjà humides.
Nous rentrons chez nous, bulle chaude et douce...
Et votre chemisier blanc est collé à votre corps glacé et fiévreux,
je ne peux que l'enlever, défaire avec délice chaque petit bouton... et redécouvrir ce corps que trois années ne m'empêcheront en rien d'oublier...
C'est fou comme elle représente toujours bien mes sentiments.
Là elle crie comme le manque est dur, et la furieuse passion qui me dévore le ventre... Passion qui croit, qui dort en moi. Et qui se réveille au détour d'un mot, d'un accord.
Et dans ma robe (la seule) bleu électrique, celle que je mettrai samedi, j'ouvre ma fenêtre et bascule ma tête en arrière et me sens dans mon élément. l'eau.......
Je voudrais sortir dehors, rire, être trempée, vous retrouver, vous serrer dans mes bras, ne faire plus qu'une, me fondre en vous, sous cette pluie battante qui nous fouette le visage. Mais ni cette pluie ni rien d'autre d'ailleurs ne nous empêchera de nous aimer...
La lumière des réverbères se reflète sur nos joues trempées et sur nos lèvres déjà humides.
Nous rentrons chez nous, bulle chaude et douce...
Et votre chemisier blanc est collé à votre corps glacé et fiévreux,
je ne peux que l'enlever, défaire avec délice chaque petit bouton... et redécouvrir ce corps que trois années ne m'empêcheront en rien d'oublier...
Ecrit par rafaelle-, le Mercredi 27 Avril 2005, 13:40 dans la rubrique Quand le soleil se lève....
Commentaires :
juliete